Etape 14 : Vernon (27)
ÉTAPE 14 : Mery sur Oise (95) - Vernon (27) : 78 km
Après un départ matinal (mon hôte partant travailler à 7h30), me revoilà à Auvers-sur-Oise. Je suis à nouveau le parcours Paris-Londres, via le vexin français, avant de redescendre le long de la vallée de l'Epte jusqu'à Giverny. Mais avant, le parcours serpente le long de l'Oise et de la Seine, et on alterne entre secteurs urbanisés, petites bourgades coquettes d'apparence champêtres, secteurs de maraichage, mais au détour d'une rue, on retombe sur des barres d'immeubles... Le tout à quelques kilomètres d'intervalle, une vraie mosaïque.
Je m'arrête assez peu car la météo est plutôt morose, on annonce des orages, et j'essaie d'avancer pour rouler le moins possible sous la pluie.
La campagne est belle, avec des reliefs ondulés et de beaux champs de céréales. En haut d'une petite côte, je prends une pause pour dessiner le panorama.
Cette traversée du Vexin est vraiment très agréable, il y a peu de circulation, mais je croise vraiment très peu de monde. Je voulais m'arrêter à la maison du parc naturel régional pour en savoir plus sur celui-ci, mais pas de bol, personne à l'accueil.
En milieu d'après-midi, j'arrive à Giverny. Une bonne glace artisanale me permet de patienter pendant la queue pour entrer. C'est que les touristes de manquent pas pour visiter les jardins de Claude Monnet. Les floraisons sont abondantes, les nymphéas sont là, la maison et sa collection d'estampes japonaises.
Me revoici en route pour camper à Vernon. Cette fois ça y est, l'orage est là avec ses trombes d'eau. On n'y voit pas grand chose! C'est bien trempée que j'arrive à Vernon.
Après un départ matinal (mon hôte partant travailler à 7h30), me revoilà à Auvers-sur-Oise. Je suis à nouveau le parcours Paris-Londres, via le vexin français, avant de redescendre le long de la vallée de l'Epte jusqu'à Giverny. Mais avant, le parcours serpente le long de l'Oise et de la Seine, et on alterne entre secteurs urbanisés, petites bourgades coquettes d'apparence champêtres, secteurs de maraichage, mais au détour d'une rue, on retombe sur des barres d'immeubles... Le tout à quelques kilomètres d'intervalle, une vraie mosaïque.
Je m'arrête assez peu car la météo est plutôt morose, on annonce des orages, et j'essaie d'avancer pour rouler le moins possible sous la pluie.
La campagne est belle, avec des reliefs ondulés et de beaux champs de céréales. En haut d'une petite côte, je prends une pause pour dessiner le panorama.
En milieu d'après-midi, j'arrive à Giverny. Une bonne glace artisanale me permet de patienter pendant la queue pour entrer. C'est que les touristes de manquent pas pour visiter les jardins de Claude Monnet. Les floraisons sont abondantes, les nymphéas sont là, la maison et sa collection d'estampes japonaises.
Commentaires
Enregistrer un commentaire